Ainsi, pour la première fois depuis le 22 février 2019, les citoyens de l’ouest n’ont pas pu manifester, hier vendredi, contre le pouvoir et continuer de réclamer le changement du régime. À Oran un impressionnant dispositif sécuritaire, déterminé à empêcher toute manifestation de contestation a été installé. Les premiers manifestants arrivés sur place ont été dispersés, violentés ou arrêtés. Cette situation a fait réagir la Ligue algérienne des droits humains (LADDH). Cette dernière parle de près de 400 manifestants arrêtés tout au long de la journée. Les vidéos partagées sur les réseaux sociaux témoignent de la violence de la répression policière. Des femmes, des enfants et des personnes âgées ont été violentés.
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